BUREAU D'ACCOMPAGNEMENT SOCIAL
Accompagner - Former - Conseiller

Qui suis-je ?
Je m’appelle Caroline Banach – mais il arrive qu'on m'appelle Caro, surtout quand on m’appelle pour la troisième urgence sociale de la journée. Oups !
J’ai passé près de 10 ans dans le médico-social. Des institutions, des réunions, des couloirs pleins d’histoires, des collègues brillant.e.s, des journées bien remplies... et parfois un sentiment tenace : “Mais qui prend soin de celles et ceux qui prennent soin ?”
Alors un jour, j’ai décidé de bifurquer.
Pas de tout plaquer pour aller élever des chèvres au Larzac (même si l’idée est tentante), mais pour créer le Bureau d’Accompagnement Social : un service qui soutient les pros du maintien à domicile. Ceux qui font tenir les murs. Ceux qu’on oublie trop souvent.
Aujourd’hui, je travaille avec des SAAD, SSIAD, SPASAD, et toutes ces structures qui ont besoin d’un coup de main pour prévenir les craquages, apaiser les tensions, et ramener un peu d’air dans des équipes à bout de souffle.
Mon approche
Je suis assistante sociale indépendante, avec un vrai goût pour l’écoute, le dialogue et le café.
Je suis aussi formée en psychologie générale et positive, ce qui me permet d’accompagner sans réduire les gens à leurs problèmes. J’aime voir ce qui va bien, ce qui tient, ce qui peut servir de levier.
Mon travail, c’est d’apporter un regard extérieur, professionnel, et bienveillant — mais pas plan-plan. Si on veut que ça bouge, il faut parfois poser les vraies questions. Et c’est justement ce que je fais : avec douceur, avec humour parfois, mais toujours avec respect.
Concrètement ?
Je propose :
-
des accompagnements individuels pour les salarié·es en difficulté sociale,
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du soutien aux encadrant·es qui gèrent des situations sociales sans filet,
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des cercles de parole et d’analyse des pratiques, pour mettre à plat ce qui pèse,
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des formations sur-mesure, pas ennuyeuses, mais utiles et ancrées.
Les enjeux du maintien à domicile ? Je les connais.
Parce que j’ai été sur le terrain. Parce que j’ai écouté des salarié·es en larmes dans leur voiture entre deux bénéficiaires. Parce que j’ai vu des responsables de secteur tenir debout avec un café froid et trois dossiers brûlants.
Et parce que je travaille aujourd’hui avec celles et ceux qui font tourner ce système chaque jour, sans projecteur ni tambour.
👉 Le maintien à domicile, c’est un choix de société.
Mais dans les faits, ce sont des salarié·es à bout, des bénéficiaires de plus en plus dépendants, des encadrant·es en tension permanente à recherche de candidat.e.s, un turnover qui rend jaloux mon taux de cholestérol, des familles en détresse, des urgences sociales qui débordent, et une seule équipe pour tout porter.
👉 Ce sont des métiers de l’ombre, de l’engagement, du quotidien.
Des métiers qui demandent de l’endurance physique, émotionnelle, relationnelle… sans toujours avoir d’espace pour souffler, déposer, prendre du recul. Et les salarié.e.s arrivent là, souvent sans formation préalable, sans diplôme, sans connaissances ou expérience.
👉 Et ce sont des structures qui doivent tenir un équilibre fragile entre :
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les besoins humains des salarié·es,
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les attentes des familles,
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les contraintes financières,
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et le sentiment constant de “faire ce qu’on peut avec ce qu’on a”.
C’est pour ça que j’interviens.
Pas pour réparer les gens.
Mais pour soutenir les équipes, outiller les encadrant·es, apaiser les dynamiques, prévenir les crises, et ramener un peu de souffle là où tout va trop vite.
📍 Je suis basée en Sarthe, et j’interviens dans toute la France (coucou Marseille !)… et même plus loin parfois.
👋 Si vous cherchez quelqu’un de fiable, qui connaît le secteur, qui dit les choses franchement mais avec le sourire...
Vous êtes au bon endroit.